Un nouvel incident vient de scandaliser le monde de la tech via Twitter : sous le titre “40 filles les plus sexy de la tech”, un site américain a publié sans leur autorisation un palmarès des fondatrices et cadres de sociétés jugées “hot”. Les tech girls, comme les femmes de l’univers du jeu vidéo en ont assez de l’excès de testostérone et d’une violence de plus en plus débridée.
En une semaine, deux sujets sur les coulisses pas tout à fait fraîches du monde de la tech et d’Internet ont secoué Une galerie photos voulue ‘hot” et accroches-clics sur les “40 filles les plus sexy de la tech”, qui a peut être obtenu les clics espérés, mais pas l’estime de la Silicon Valley et du reste de la profession, ah non.
La série, qui se voudrait une compilation d’ expertes en hard ou sofware se vend comme un calendrier pour chauffeur de 40 tonnes (mais plus habillées), sans un mot sur leur métier ou succès, pour des femmes fondatrices, ou chercheuses, cadres dirigeants de petits ou grands noms de la tech : Catarina Fake la fondatrice de Flickr, maintenant chez Yahoo, des cadres de chez Microsoft, Ubisoft ,tech.tv, Facebook, Polyvore et même Marissa Meyer, PDG de Yahoo! apparaissent en robe du soir décolettées ou au naturel, mais sans leur autorisation. On ignore totalement ce qu’elles font ou ont fait, mais tant pis. Les hommes, comme les femmes, sont restés bouche bée devant l’énormité. Xeny Jardin, de Boing Boing, qui figure involontairement dans ces Sexy girls a riposté dans un tweet :” vous n’avez même pas vu que j’étais chauve, et qu’il me manquait un sein plus d’autres parties du corps? #cancer”. Une énorme, colossale gaffe.
Insulté sur Facebook et Twitter, l’auteur a fait son mea culpa, reproduit sur Gawker : il est pigiste, la rédaction lui a forcé la main, sa liste était totalement différente, les éditeurs ne l’ont pas trouvée assez sexy, justement, le tout pour une poignée de dollars (…)lire la suite sur Atlantico
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