INFO LE FIGARO – Dix-sept anciennes boutiques consacrées aux mobiles vendront désormais des objets connectés.
Après les téléphones portables, place aux objets connectés. Stéphane Bohbot, le patron et fondateur d’Innov8, a racheté les dix-sept plus grandes boutiques de Phone House, après la cessation des activités de distribution de ce dernier en France. À la place, Stéphane Bohbot installera Lick, une nouvelle enseigne dont l’ambition est de devenir «la référence dans la vente d’objets connectés». C’est aussi une bonne nouvelle pour la centaine de salariés employés dans les boutiques Phone House concernées par l’opération, et qui sont repris et formés par Lick.
Les dix-sept magasins, situés sur tout le territoire, vont être progressivement transformés. La première ouverture devrait avoir lieu au printemps, dans le centre commercial des Quatre Temps à la Défense. «Nous voulons offrir une nouvelle expérience pour les produits numériques en créant un concept de magasins dédiés aux objets connectés», explique Stéphane Bohbot, qui veut être le premier à prendre place sur ce marché prometteur. Les différentes études sur le secteur parient sur une croissance à deux chiffres des ventes d’objets connectés au moins jusqu’en 2020. À cette échéance, il y en aura 50 à 80 milliards en circulation dans le monde, selon les estimations de Gartner et de l’Idate, soit 6,5 objets connectés par personne!
Les grands univers du monde des objets connectés seront représentés dans la nouvelle enseigne, depuis la santé connectée à la maison, en passant par le loisir et les vêtements. Bracelets et montres connectés cohabiteront avec des jouets, des disques durs en Wi-Fi, des gants de golf dotés de capteurs ou encore des sweat-shirts avec écouteurs intégrés.
La part belle aux Français
Face au risque de voir ses magasins transformés en grands bric-à-brac, Stéphane Bohbot promet une sélection rigoureuse des produits qui y seront vendus. Certes, le fil rouge sera la connectivité, mais il (…) Lire la suite sur Figaro.fr
Inscrivez vous à la newsletter du Figaro