Au milieu des brailleries de l’opposition, Manuel Valls a lu son discours de politique générale, un discours sans énorme surprise mais bien construit (un tableau très crépusculaire de la situation de la France, son programme axé autour de la compétitivité, et une conclusion d’un patriotisme ardent). Sur le fond, le cap est maintenu : le maître-mot est pour Valls la « confiance » des entreprises, clé de la croissance. Celles-ci ont même eu droit à des cadeaux supplémentaires, comme la baisse de l’impôt sur les sociétés. Sur le plan européen, le Premier ministre compte convaincre les partenaires…