Furby et Ubooly: Les petits robots à poils ont du répondant

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JOUETS – Succès annoncé de ces fêtes de fin d’année, ces jouets en peluche détournent l’intelligence des smartphones à leur profit…

«Ces jouets se prennent bien en main et l’interactivité favorise l’attachement de l’enfant: il se projette en lui et s’amuse avec, analyse Franck Mathais, le directeur exécutif des ventes de La Grande Récré. Le côté émotionnel est très fort dans ce type de jouet». Mais entre Furby et Ubooly, que 20 Minutes a testés pendant une semaine, lequel faut-il privilégier?

Furby est expérimenté

Furby, best-seller international, en est déjà, depuis 1998, à sa troisième génération. Par rapport à ses grands parents, cette espèce de Mogwai (Gremlin avant métamorphose) est digital native. Il est aussi capable d’interagir avec une application (iOs ou Android) sur smartphone. On peut ainsi créer un hamburger et voir s’il plaît au Furby. Suivant les ingrédients choisis, il peut s’en délecter ou rendre un petit vomi… Mais Furby évolue, grandit, change de goûts. Il passe avec aisance de la valse au Gangnam Style. Son babillement en «furbish» est censé laisser place à un vocabulaire de plus en plus sophistiqué (enfin quand l’enfant-dresseur est doué, car notre Furby continue de roter et pêter à tout va).

Ubooly est moins cher

Conçue par une équipe comptant huit enseignants et deux pédiatres, Ubooly est d’abord une application gratuite, capable de prononcer 50.000 mots et d’échanger avec les enfants, les invitant à jouer, dessiner, participer à des exercices ou écouter des histoires. Mais l’objet Ubooly en lui-même, qui vaut 30 euros, est en réalité une housse de smartphone en forme de peluche dans laquelle on glisse un téléphone ou une tablette. Ce qui explique la différence avec les 60 euros demandés pour Furby et toute son électronique embarquée.

Ubooly est plus civilisé

Furby parle fort et fait du bruit. A moins de lui enlever les piles, il faut lui faire compter des moutons pour l’endormir. Et (…) Lire la suite sur 20minutes.fr

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