VIDÉO – L’université de Lund en Suède a lancé un système de paiement par scan des veines de la main. Plus facile et plus rapide d’utilisation, il semble aussi être un outil plus sécurisé.
«Jamais il n’a été plus facile ou plus rapide de payer». L’université de Lund, en Suède, lance un système de paiement par scan des veines de la main. Poussant encore plus loin le principe du paiement à distance, la start-up Quixter a été créée pour diffuser l’innovation. Plus besoin de fouiller dans votre sac pour trouver votre portefeuille, la carte bancaire c’est vous.
Quelques 1600 personnes utilisent déjà ce système. Pour cela, elles ont d’abord dû s’enregistrer. Le client doit dans un premier temps se rendre dans un commerce équipé du terminal et scanner sa main à trois reprises. Il doit également donner son numéro de sécurité sociale ainsi que celui de son téléphone. Un SMS contenant le lien d’activation de son compte lui est ensuite envoyé, lui permettant de régler tout ses achats uniquement avec la paume de sa main. Une quinzaine de magasins et retaurants de la ville de Lund sont aujourd’hui equipés du terminal.
Un système très sécurisé
Les paiements sont divisés en deux périodes et les sommes dépensées sont donc débitées automatiquement deux fois par mois: soit durant la première période (les quinze premiers jours), soit durant les deux dernières semaines du mois. «La bonne somme est automatiquement déduite de votre compte et est créditée sur le compte du bénéficiaire», explique Quixter. Vous pouvez cumuler pour un maximum de 2500 dollars par période. Si vous dépassez ce montant, vous ne pourrez plus payer de cette manière jusqu’à la prochaine période de paie.
Si la simplicité et la rapidité sont mises en avant par le fabricant, qu’en est-il de la sécurité? Lorsque vous payez vos achats, vous devez d’abord entrer les quatre derniers chiffres de votre numéro de (…) Lire la suite sur Figaro.fr
Un système de paiement électronique russe
Nos données de paiement, un vrai trésor pour les banques
Inscrivez-vous à la newsletter du Figaro