Les aspirations des actifs français ont beaucoup évolué depuis quelques années, notamment avec la crise sanitairecrise sanitaire que le pays a connue. Flexibilité dans l’organisation du travail, meilleur équilibre entre vie personnelle et professionnelle ou bien encore le sens donné à la mission confiée font partie désormais des moteurs d’attractivité d’un poste. Mais les premiers d’entre eux restent encore de loin la rémunération et les avantages sociaux, et ce, quel que soit le genre, l’âge, le secteur d’activité, selon l’enquête « Global Benefits Attitude Survey » menée par WTW auprès de plus de 45 000 collaborateurs à travers le monde.
Gagner en pouvoir d’achat et en équilibre vie pro et vie perso
« Beaucoup d’entreprises ont compris cette évolution, mais ce n’est pas la somme des dispositifs qui fait une politique ambitieuse, c’est cette capacité à bien faire passer les messages et à accompagner les collaborateurs », commente Benjamin Suchar, le cofondateur de Worklife. Cette filiale du groupe Crédit agricole a en effet créé une plateforme intégrée aux outils RH qui optimise la stratégie d’avantages sociaux des organisations de toutes tailles « pour permettre à un salarié d’avoir une vision concrète de ce que leur entreprise peut faire pour lui à travers une applicationapplication et une carte de paiement qu’il utilise tous les jours ».
Titres-restaurant, forfait mobilités durablesmobilités durables, services à la personne (Cesu dématérialisés), crédit mobilité, allocations télétravail et sport, bons cadeaux/vacances…, les avantages sociaux peuvent être nombreux et pourtant « moins d’un salarié sur deux aujourd’hui en perçoit la valeur », précise Benjamin Suchar. Ce fameux package d’avantages sociaux peut d’ailleurs représenter près d’un tiers de la rémunération nette annuelle des salariés. Ils contribuent donc à les aider à gagner en pouvoir d’achat, mais aussi en équilibre vie pro-vie perso. « L’important, c’est d’allier raison d’être et pouvoir d’achat : si l’entreprise peut combiner pouvoir d’achat complémentaire et accompagnement avec un sens, tout le monde est gagnant », souligne-t-il.
Un modèle éthique et responsable
D’autant que Worklife est le seul acteur des titres-restaurant à proposer un modèle économique responsable, qui ne prend aucune commission aux restaurateurs et commerçants. Il s’engage aussi sur les avantages dits responsables, notamment en matièrematière de mobilité durable pour aider les entreprises à basculer vers une neutralité carboneneutralité carbone. « Un de nos clients, une grande société d’intérim, a par exemple porté le forfait mobilité durable pour accompagner ses collaborateurs vers des mobilités plus douces, ce qui leur a permis d’économiser plus de 1 000 tonnes de CO2 par an », explique Benjamin Suchar.
Mais la solution de Worklife n’est d’ailleurs pas uniquement destinée aux grands groupes. « Nous proposons également une offre qui permet de simplifier la complexité que peuvent représenter ces dispositifs pour un dirigeant d’une TPE ou PME, avec une offre d’assurance santé et d’épargne salariale dans une démarche unifiée de “banque des RH”. Elle est distribuée par le maillage territorial du groupe Crédit Agricole S.A et ses nombreuses agences en France, au plus proche de ses clients », annonce Benjamin Suchar.