Une application pour trouver un soutien-gorge à la bonne taille

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L’application américaine ThirdLove invite les utilisatrices à se prendre en photo afin de leur proposer des sous-vêtements adaptés à la taille de leur poitrine.

Trop grand, trop petit, aux bretelles qui tombent ou au bandeau qui remonte. Il n’est pas forcément facile pour une femme de trouver un soutien-gorge à la bonne taille. Un problème dont s’est emparé la start-up américaine ThirdLove, en lançant une application mobile qui mesure la poitrine à l’aide d’un smartphone. Le programme est disponible sur l’App Store américain depuis le mois de novembre et doit arriver prochainement sur Android. Sa promesse: «trouver un soutien-gorge plus rapidement qu’une place de parking».

Une mesure unique

ThirdLove est développé par l’entreprise MeCommerce, qui a levé 5,6 millions de dollars (4,1 millions d’euros) dans ce but. À la différence d’autres applications du genre, il n’est pas nécessaire d’avoir un mètre ruban pour s’en servir. L’utilisatrice est invitée à prendre deux photos d’elle dans un miroir, de face et de profil, seulement vêtue de ses sous-vêtements ou d’un débardeur. L’application analyse ensuite les clichés puis affiche une taille de soutien-gorge personnalisée. Il ne s’agit pas de mesures classiques, mais d’une unité propre à ThirdLove. L’application propose ensuite à son utilisatrice une sélection de soutiens-gorges produits par la start-up et spécialement adaptés pour sa morphologie. «Quand j’ai reçu mon soutien-gorge par la poste, je m’étais préparée au pire», explique Stephanie Chan, journaliste pour le site spécialisé ReadWrite qui a pu tester l’application. «Au final, cela m’allait comme un gant. Un gant très confortable, et avec de la dentelle.»

Néanmoins, l’utilisation de ThirdLove présente plusieurs inconvénients. L’application n’est pour l’instant disponible que sur iPhone et pour les clientes américaines. Par ailleurs, les produits disponibles sur la boutique en ligne ont un coût: compter au moins 45 dollars (33 euros) pour un soutien-gorge (…) Lire la suite sur Figaro.fr

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